~¤Le Règne De Lilith¤~
 
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Melendil Leyd
Il fut surpris par ce baiser et dût rouvrir les yeux pour vérifier que tout cela était réel. Oui, c'était bien elle qui était en train de l'embrasser...
Il lui rendit son baiser avec passion et la serra un peu plus contre lui.
Jamais il n'avait ressentit un tel bonheur. Il était vraiment heureux qu'elle lui donne ce baiser car cela signifiait beaucoup pour lui.
Il caressa doucement ses bras. Sa peau était si douce...
Il succombait à chacun de ses gestes, de ses mots, de ses actes...
La savoir si près de lui le rendait fou d'amour.
Personne ne pouvait aimer plus que lui...il en était certain.
Jamais il ne pourrait être aussi amoureux pour une autre femme qu'elle.


Je ne peux pas croire ce qui nous arrive...Je le voulais tellement. Viens avec moi, partons...enfuyons-nous pour vivre ensemble...C'est insensé ? Peut-être...ça ne sort pas d'un comte pourtant...C'ets ce que je veux...toi.
Laila Sun
Elle eut un petit sourire.

Chronos... Le Dieu du temps. Ma mère m'en parlait parfois...

Elle sentait son coeur chavirer, mais plus de la même façon qu'avant. Elle était sortie de la phase petite fille qui flash sur un garçon intouchable.
Elle se sentait encore bien petite quand elle était près de lui, mais elle n'était plus gênée. Elle n'avait plus l'impression que ce qu'elle vivait était inimaginable. elle savait qu'il l'aimait, et c'était ça qui faisait battre son coeur. Elle sentait une passion violente la consumer el un feu ardent, et elle sentait que cette passion était partagée.
Elle nageait dans un bonheur tel qu'elle avait l'impresison de ne pas en mériter tant mais elle ne se demandait plus si il la considèrait comme une gamine ou pas. Ils étaient sur la même longuer d'onde, leurs coeurs battaient réèlement ensemble cette fois. Il était Dieu et elle Nymphe. Une Nymphe qui n'était pas autorisée à rester avec ce Dieu qu'elle aimait tant. Mais elle s'en fichait. Pour le moment, tout ce qui lui importait, c'était d'entendre les battements de leur coeur, c'était de sentir son amour pour lui et de savoir tout l'amour lui lui donnait.
Elle resta u moment silencieuse, savourant le souffle du jeune homme qui lui caressait le visage avant de murmurer.


Et je serais incapable de partir. Si vous me lachez, je n'y survivrais pas.

Elle hésita encore longtemps avant de rapprocher se slèvres de celles du jeune homme pour les effleurer d'un baiser doux et léger.
Melendil Leyd
Il se sentait ailleurs...dans un monde où le temps et l'espace se seraient arrêtés rien que pour eux. Pour qu'ils puissent avoir un moment à eux seuls. Un instant formidable où leurs âmes et leurs corps se seraient mêlés, touchés et emprisonnés ensemble pour l'éternité.
Si seulement les secondes pouvaient devenir des heures, puis des jours et même...des années ? Pourquoi la vie n'est jamais telle qu'on voudrait qu'elle soit ? Pourquoi autour de soi tout est si compliqué...alors qu'il ne suffit que de deux êtres pour que cela change.
Un homme, une femme, un regard, un soupire, une caresse...un baiser.
Si seulement Leyd était capable d'inverser les rôles, de jouer au jeu dangeureux de l'amour et d'atteindre son but : celui d'être avec elle aussi longtemps qu'il le désirait.
Si seulement...


Il la regarda en souriant et resta assez près de ses lèvres, de façon à sentir son souffle. Il posa délicatement son front contre celui de la jeune fille, ferma les yeux et murmura d'un ton tout à fait suave.

Comme j'aimerais que Chronos nous laisse ici...Je crois que...je serais incapable de te laisser partir maintenant...
Laila Sun
Quand il la prit contre lui, elle se sentit trembler un peu mais sa peur fut bientot remplacée par un bonheur encore jamais égalé. Elle venait d'atteindre le paradis. Jamais elle n'aurait espèré ça. Elle était contre lui, elle sentait son torse, ses mains fermes autour d'elle, son odeur puissante, sa chaleur naturelle. Ils étaient dans leu bulle. Elle avait le sentiment qu'un ouragan aurait pu passer, elle ne l'aurait même pas senti. Il était là pour la protèger et rien n'aurait pu aller contre ça. Elle en oublia totalement les doutes qui l'avaient envahi à peine 5 minutes avant et ferma les yeux, pour écouter son coeur essayer de percer sa poitrine tat il cognait fort. Il cognait au rythme de celui de Leyd. Deux coeur qui battent, ensemble, fort, vite. Un bonheur, une tendresse, un amour.
Bien sur, comme toutes les filles, elle ne put s'empêcher de se demander si il ne faisiat pas ça de façon amicale. Horreur. Et si il la considèrait comme une petite soeur. Moin Dieu tout mais pas ça.
C'est ce moment la quze Leyd choisit pour lui redresser la tête et effleurer ses lèvres. Ce fut une véritable décharge électrique pour elle. Elle sentit ses joues s'enflammer et le sang lui monter aux lèvres. Le biser n'avait duré que deux secondes et pourtant, il lui avait fait perdre la tête. Elle ne comprenait plus rien de ce qui se passiat tant elle était étourdie. Et ce baiser... C'était... Extraordinaire. Elle eut un faible sourire et le regarda dans les yeux, incapable de faire un geste ou de prononcer un mot. Elle aurait voulut l'embrasser à son tour mais de une, elle était pétrifiée, de deux, elle avait peur d'avoir l'air d'une idiote.
En plus, la respiration du jeune homme n'arrangeait pas les choses. Elle caressait son visage à chaque expirations, répendant un souffle chaud et doux dans son cou et sur ses lèvres, rendant la jeune fille complètement dingue.

Melendil Leyd
Il ferma les yeux et s'enivra de son parfum doux et naturel. Il n'avait pû qu'espèrer qu'elle soit si proche de lui. Il ne cessait de sourire et avec douceur et tendresse, l'entoura de ses bras. Il la serra contre lui, sans trop de force, juste ce qu'il faut pour comprendre que tout cela était réel. Ce qu'elle venait de lui dire l'emplissait de bonheur. Il fut encore plus touché de savoir qu'elle le désirait autant qu'il la voulait. Jamais il n'avait été si jaloux d'un seigneur : celui de Laila. Durant de nombreuses soirées après son passage dans la maison du maître de son aimée, il ne dormait plus, l'imaginant la serrer contre lui, la toucher, l'embrasser...Il ne le supportait pas. Au bout d'un moment, il releva la tête de Laila et sourit en découvrant ses yeux larmoyants. Ils n'avaient plus besoin de mots...Il plongea son regard dans le sien avant de s'approcher lentement de ses lèvres. Il préféra rester prudent cependant et déposa un léger baiser sur les lèvres de Laila. Il aurait aimé qu'elle lui rende son baiser mais n'en demandait pas tant...Il savait qu'elle était toujours réticente avec les hommes. Mais cet instant fut magique...Douces, fraîches et tendres...les lèvres de la jeune femme surprirent Leyd au point que son corps tout entier frissonna de plaisir.
Laila Sun
Elle sentit des larmes de bonheur couler sur ses joues et son coeur ne savait même plus si il devait continuer à battre si vite ou si il ne vallait pas mieux lacher tout de suite. Elle était incapable de prononcer un mot, incapable de faire un geste. Elle se contentait de sentir les larmes couler et de se noyer dans son regard, tandis que son esprit tentait veinement de comprendre l'information qu'il venait de recevoir. Leyd l'aimait. Il le lui avait dit. C'était tellement inimaginable qu'elle n'arrivait même pas à le réaliser. Elle nageait dans un rêve le plus total. Mais derrière ce rêve, elle sentait les doutes affluer, plus violents que jamais. Ils venaient tous les deux de signer leur arrêt de mort. Elle balaya ses inquiètudes de sa tête et posa son front contre le torse de Leyd, tentant de noyer toute cette peur dans l'odeur protectrice qu'il dégageait. Elle posa ses mains contre son torse et ne tarda pas à s'aggriper à ses vêtements avant de fermer les yeux, tremblante, prête à fondre en larmes. Elle murmura d'une voix étouffée.

Je vous aime tellement... Depuis notre première rencontre, je n'ai cessé de vous aimer. Je ne veux plus vous quitter... Jamais. Jamais je ne supporterais d'être séparée de vous.

Message édité le 05-12-2006 à 18:17:04 par Laila Sun
Melendil Leyd
Il sentit également son coeur battre plus rapidemment dans sa poitrine et lorsqu'elle lui prit ses mains, il esquissa un magnifique sourire. Il jouait un jeu..dangeureux, certes, mais qui en valait la peine. Il trouvait cet instant bien trop magique pour que ce ne soit vrai...et pourtant. Laila était réellement en train de lui dire toutes ces phrases, tous ces mots tendres qu'il espèrait...Il caressa ses mains et de son index releva la visage de la jeune fille.

Ne me dites pas ces choses...Vous ne devez pas m'accorder autant de place dans votre coeur...C'est à moi de vous exprimer ce que je ressens.

Il sourit une nouvelle fois et dit d'un ton suave et élégant.

Vos mains sont peut-être froides mais votre coeur est chaud. Le mien brûle de désir pour vous...et cela depuis plus de temps que vous ne pouvez l'imaginer. Jamais je n'aurais cru que vous vous seriez confiée à moi avec autant de simplicité...Je connaissais votre dégoût pour le gente masculine...Mais l'amour que je vous portais et que je vous porte est plus fort encore...
Laila Sun
Elle sentit son coeur exploser et son esprit nager dans un brouillard total. C'était à le fois une euphorie et une torture de le sentir si près d'elle. Sa main si douce effleurant sa peau, provocant presque une brulure à l'endroit qu'elle avait touchée. Mais en même temps, sa présence si calme et réconfortante. Si pure. Elle l'aimait en mourrir. Et c'était douloureux. Mais elle se sentait si bien avec lui. Elle baissa les yeux avec un faible sourire.

Vous êtes une personne étrange monsieur Leyd. Quand je vous ai vu l'autre jour parler avec mon maitre, je vous ai trouvé terrifiant. Mais votre présence est si protectrice, si apaisante...

D'un geste tremblente, elle prit la main quasi brulante de Leyd dans les siennes et ferma les yeux pour écouter son coeur battre à tout rompre, certaine que toute le foret devait l'entendre.

Et vos mains sont si chaudes. Les miennes sont toujours glacée. Et j'ai constemment froid. Quand vous n'êtes pas près de moi, je me sens aussi gelée qu'un bloc de glace. Et cette glace, vous la faite fondre au moindre de vos gestes. A la moindre de vos paroles.
Melendil Leyd
Il n'entendit pas sa réponse...ou ne préféra pas savoir. Il leva la tête et regarda autour de lui. C'était magnifique...un paradis unique dnas un monde où tout est abstrait et défini. Il inspira profondément et il lui sembla que l'air avait un parfum de miel. Lorsqu'il posa à nouveau son regard sur Laila, il vit ses larmes et se sentit complètement désemparé.

Mais...vous...je ne comprends pas...Ne soyez pas triste ou en colère par ce que je viens de dire...Mon intention première n'était pas de vous destabiliser je...C'était une plaisanterie...rien de plus...Pardon.

Il prit une fleur sur une branche assez basse et s'approcha doucement de Laila. Avec délicatesse, élégance et tendresse, il déposa la fleur au-dessus de son oreille, dans ses cheveux. Il frôla du bout des doigts la joue de la jeune fille, avec une lenteur extrême. Il sourit en la transperçant du regard.
Laila Sun
Elle rougit violemment et dut une fois de plus remercier l'obscurité ambiante. Quoique cette fois, elle se sentait tellement rouge qu'elle doutait un peu de l'efficacité de l'ombre à cacher son teint.
Elle baissa la tête, gênée et balbutia quelque chose d'incompréhensible avant de murmurer.


Ne dites pas ça, je...

Le pire dans tout ça, c'était qu'il s'était arrêté à l'endroit pile poil ou elle voulait le conduire. Et cet endroit ne jouait pas vraiment en sa faveur.
Ils se trouvaient en dessous d'un cerisier en fleurs, dont les pétales blancs et roses les innoindaient et répendaient sous eux un tapis soyeux et magnifique. L'endroit rêvé pour une déclaration en bonne et due forme.
Mais elle n'y arrivait pas. De stonnes et des tonnes de mots tournaient dans sa tête et se perdaient avant d'arriver à ses lèvres. Elle s'était imaginée cette scène des milliers de fois, énumèrant dans sa tête toutes les formulations possibles pour lui déclarer son amour. Et elle était incapable de prononcer un mot.
Et son coeur. Il battait si fort que ça en devenait extrêmement douloureux. Elle en craignait qu'il n'éclate tant il cognait contre sa poitrine. La passion. L'ethymologie de ce mot venait de pathos: souffrir. Elle commençait à comprendre pourquoi. Elle en avait les larmes aux yeux tat cette situation devenait intense à vivre.

 
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