| Hoshi Ukauka | | Tout le monde cris, moi j\'hurle. | | Loprum |  |  | | 11 messages postés |
|  Posté le 25-11-2006 à 14:01:26   
| Le château était plutôt imposant, mais d'après les quelques informations qu'Hoshi avait, il était le plus petit de Nouvelle-Zélande, ce qui l'étonnait un peu. Tout autour du lieu ou il était l'esclave, se trouvait d'immense champ cultivé, un peu plus loin se trouvait une forêt assez imposante. Hoshi y allait parfois, mais comme cela prenait environs une demi heure après, il ne le faisait pas tout le temps. Si il s'absentait tout une après midi, il risquait d'en avoir pour sa peau. Ou son maître était généreux, et il l'enfermait pendant une semaine sans manger dans un cachot des sous sols du château. Ou il était d'humeur très mauvaise, et il lui faisait subir des coups de fouet avec un fouet un peu spécial. (Je vous laisse deviner) Hoshi était installé à une fenêtre, il était très tard le soir, et l'éclat de la lune révélé une partie du territoire de son maître. Soudain, un cri se fit entendre dans la salle principale, et la voix puissante et résonnante d'une femme :
"RAMENEZ MOI TOUT DE SUITE CET IMBECILE!"
Il sentit les poils de son dos s'hérisser de terreur, il devait s'attendre au pire si c'était de lui qu'elle parlait. Il aurait aimé fuir tout de suite, très loin pour éviter ça, mais le temps n'était pas avec lui. Des gardes arrivèrent dans le couloir complètement paniqué, et coururent vers le jeune adulte, l'un deux l'agrippa par le col et le tira jusqu'à devant une porte très imposante. Il lui dit d'entrée tout de suite, mais, Hoshi n'eut même pas le temps de dire un mot qu'il fut envoyé fasse à son maîtresse, il avait dû se mettre à genou de force à cause d'un garde. Après cet évènement, la femme qui se tenait devant lui demanda aux autres de quitter la pièce, elle était étrangement belle, mais son regard était terrifiant. Elle avait de long cheveux gris, ses yeux étaient plutôt fin et bleu, son visage était très fin et pâle. Elle devait approcher de la trentaine. La jeune femme tapa soudainement du pied en disant :
"J'aimerais SAVOIR pourquoi tu n'as pas achever ton travail aujourd'hui ?"
Hoshi releva lentement la tête, faisant presque fasse à la femme, et dit sur un ton presque aussi insolent que le regard qu'il avait lancé à son maître quelques secondes auparavant :
"J'ai faillis m'évanouir."
Un violent coup de poing arriva sur la joue du jeune adulte, il tourna simplement violement la tête, un léger crissement de douleur se fit entendre. Apparemment la femme était autoritaire, et aussi très colérique. Elle ne laissait rien passer. Elle répéta plusieurs fois ses coups, jusqu'à s'arrêté quand il commença à saigner du nez. Hoshi n'avait pas bougé, de tout manière il ne pouvait pas vraiment. Son maître s'approcha de lui d'un pas lent mais plutôt terrifiant, pouvant présager quelque chose de mauvais pour après. Elle passa ses mains dans les cheveux du garçon, et lui caressa délicatement la joue avec ses longs oncles en disant :
"Si seulement tu étais plus respectueux envers moi mon petit, je te ferais sûrement quelques faveurs à ton goût. Utilise ta faiblesse comme outil pour faire ton boulot, même si tu es sur le point de t'évanouir. Cela me prouvera une chose, que tu es bien mon petit chien à moi."
Après ces mots on entendit un léger cri de douleur.
Deux heures plus tard, Hoshi marchait d'un pas très lent dans les couloirs du château. Il arpentait plutôt, il avait des bandages au niveau du visage surtout. Un entouré son bras. Son regard était complètement vide, mais dans ces cas là, on pouvait voir qu'il réfléchissait. Au bout de quelques minutes, il se retrouva assis sur le rebord de la fenêtre, à regarder le ciel d'un air songeur. Il enleva les bandages qu'il avait à la tête, même si le médecin lui déconseiller fortement au cas ou les blessures se rouvraient. Sur ses deux joues, on pouvait voir cinq traits gravés. Ils étaient encore un peu rouges.
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Je suis comme une feuille qui tombe d'un arbre, elle crit sa douleur sans se faire entendre, elle disparaît puis elle renait. Mais, si je renais, la poussière qui me suis, grave éternellement tous ces souvenirs mélancoliques. |
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